Internationales

De 170 pilotes à la WSK Champions Cup, la liste des engagés va monter à 226 pour la première des quatre épreuves de la WSK Super Master Series 2020, ces 31 janvier, 1er et 2 février. Il n’y aura toujours que les trois catégories OK, OK-Junior et 60 Mini, mais certains teams absents le week-end dernier seront cette fois présents à Adria. A commencer par les marques du groupe OTK ou le team Charles Leclerc by Lennox Racing.

Le Français Macéo Capietto repart en OK-Junior en 2020, comme l’Américain Ugo Ugochukwu (ici derrière lui)

Pour les KZ2, il faudra attendre la Winter Cup mi-février ou la 2e épreuve de la WSK Super Master Series, ce qui n’est pas plus mal pour une catégorie moins “acharnée” en cette période hivernale de l’année, que celles réservées aux jeunes pilotes.

Alors que le Brésilien Gabriel Bortoleto (3e du Champion du Monde Junior 2018 et pilote en OK en 2019) vient d’annoncer qu’il allait débuter chez Prema Powerteam dans le Championnat d’Italie de F4, on attendait de découvrir l’effectif du team CRG. Il ne comptera malheureusement pas de pilote de OK, mais 2 en OK-Junior et 3 en 60 Mini.

Côté Français, on retrouvera à peu près le même effectif qu’à la WSK Champions Cup, avec un peu de renfort cependant:

OK (68 engagés): Outre Lola Lovinfosse (Tony Kart-Vortex) chez Ward Racing, VDK Racing et ses KR-IAME accueilleront Marcus Amand, Franck Chappard, Marlon Hernandez, Florian Rousseau-Ricci et Antonio Leite, ainsi que le Monégasque Oliver Goethe.

OK-Junior (74 engagés): Maceo Capietto, qui reste sur un KR-IAME, mais désormais au sein du Pantano Team, Evan Giltaire (Sodi-TM) et Maxens Verbrugge (KR-IAME / VDK Racing).

60 Mini (84 engagés): Thomas Quince (Parolin-TM), Jules Caranta (Tony Kart-Vortex), Jimmy Helias (Tony Kart-Vortex), Clément Outran (Energy-TM) et le Luxembourgeois Guillaume Bouzar (Parolin-TM).

Découvrez les horaires et la liste des engagés

Photo Joël Gaboriaud

Le circuit d’Adria

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Plus expérimenté que l’an passé et sans doute bien entraîné durant l’hiver, Brando Badoer (KR-IAME) démontrait sa montée en puissance en réalisant la pole position, puis en se maintenant 2e après les manches, intercalé entre ses équipiers Arvid Lindblad et Andrea Spina de chez KR Motorsport.

Sur le circuit d’Adria, Lindblad confirmait dans la préfinale A devant Spina, tandis que Badoer chutait 5e dans la B, remportée par Martinius Stenshorne (KR-IAME / Rosberg Racing Academy) devant le Britannique Freddie Slater (Kosmic-Vortex / RFM).

En finale, Spina se hissait à la première place dès le 1er tour. La course s’animait, mais Spina tenait bon et s’imposait. Parfois chahuté, Stenshorne récupérait finalement la 2e place devant un brillant Christian Ho (Sauber Karting Team), revenu de la 12e place pour compléter le tiercé gagnant de KR-IAME.

Deuxième à la mi-course, l’Américain Ugo Ugochukwu (Kosmic-Vortex / RFM) a dû renoncer. Le Russe Artem Severiukhin (Tony Kart-Vortex / Ward Racing) terminé 4e devant Lindblad. Côté Français, à noter la 17e position de Loris Cléricy (KR-IAME / KR) et la 22e de Maxens Verbrugge (KR-IAME / VDK Racing) qui a gagné 10 places.

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Photos WSK Press

L’humidité a souvent été présente à Adria pour cette épreuve, mais la finale s’est déroulée en slicks

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La saison 2020 à l’international est déjà lancée ! 170 pilotes étaient en effet présents à Adria pour la WSK Champions Cup, qui a permis aux concurrents d’appréhender plusieurs conditions de piste. La hiérarchie a pu s’établir sur le sec le vendredi, mais les manches du samedi furent bien arrosées. Les préfinales du dimanche ont débuté sur une piste détrempée s’asséchant légèrement, notamment en OK, avant des finales où les pneus slicks étaient de retour.

Aux chronos, Kimi Antonelli (KR-IAME) – qui ne porte plus les couleurs de la Rosberg Racing Academy mais toujours celles d’AMG – signait d’entrée la pole position pour sa première course en OK en arrivant tout juste du Junior. Taylor Barnard (KR-IAME) prenait la 2e place et la conservait à l’issue des manches, cette fois derrière Thomas Ten Brinke (Kosmic-Vortex / RFM), Champion du Monde Junior en titre. Sous la pluie, Antonelli chutait par deux fois et ne prenait pas le départ en préfinale.

Suite à un accrochage ayant éliminé Dilano Vant’Hoff (Exprit-TM / Forza Racing), Ten Brinke écopait de 20 secondes de pénalité et chutait de la 1ère à la 9e place dans la préfinale A. Barnard récupérait la pole position pour la finale, où il allait d’offrir un magnifique cavalier seul pour s’imposer… comme en 2019 !

Nouveau pilote du team Energy Corse, le Russe Kirill Smal (Energy-TM) réalisait un beau retour en 2e position devant Harry Thompson (KR-IAME / Sauber), qui n’était pourtant que 44e après des chronos manqués. Précisons toutefois que c’est l’Espagnol Josep Maria Marti Sobrepera (KR-IAME / KR) qui est arrivé second, avant d’être déclassé pour le poids.

On notera la victoire en préfinale du Brésilien Rafael Camara (Exprit-TM / Forza Racing), vice Champion du Monde Junior 2019. Arrivé 4e devant le Russe Nikita Bedrin (Tony Kart-Vortex / Ward Racing), il rétrogradait 11e suite à une pénalité pour spoiler.

Tous les Français ont participé à la finale. Les débuts en OK de Marcus Amand (KR-IAME / VDK Racing) se sont soldés par une 13e position, deux places devant sa compatriote Lola Lovinfosse (Tony Kart-Vortex / Ward Racing). Arrivé juste devant cette dernière, Franck Chappard (KR-IAME) doit se contenter de la 19e place après une pénalité pour spoiler. Tous trois sur KR-IAME, le Monégasque Oliver Goethe s’est classé 23e, Hugo Besson 27e et Marlon Hernandez 28e.

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Photo WSK Press

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Il est rare d’avoir pu connaître l’avis du secrétaire général “Sport” de la FIA sur le karting. Le livre “Best-of FIA Karting 2019” nous permet aujourd’hui de découvrir son opinion. Si nous publions plus bas son interview intégral, voici tout d’abord quelques extraits parmi les plus importants…

“Felipe Massa est très écouté lors du Conseil Mondial du Sport Automobile. À la FIA, tout le monde est convaincu de l’importance du karting, aussi bien en tant que premier échelon de la carrière de nombreux Pilotes que comme discipline à part entière.” Ces derniers mots sont rassurants: le karting n’est pas qu’un tremplin pour la monoplace.

“L’organisation d’épreuves sportives ne fait pas partie des missions de la FIA, c’est pourquoi elle fait appel à un Promoteur pour organiser tous ses Championnats. Cela lui permet d’investir davantage dans le sport lui-même et de consacrer les excédents de budget au développement de chaque discipline. Le karting n’est pas le dernier à en profiter.” Une bonne nouvelle !

“Avec le Promoteur RGMMC, la FIA a considérablement fait évoluer la communication autour du karting. Le nombre de fans qui suivent les réseaux sociaux FIA Karting Championship se comptent maintenant par plusieurs dizaines de milliers à travers le monde. Sur Instagram, nous sommes passés de 1500 à plus de 20.000 followers en quelques mois. Grâce à RGMMC Group, nous avons dopé l’audience télévisuelle du karting avec des contenus que nous envoyons par satellite aux chaînes de télévision du monde entier. Lors d’une épreuve du Championnat d’Europe, nous avons touché 195 pays à travers 62 chaînes, en plus de l’accord avec Motorsport.com.” Communication = Retombées et promotion, c’est positif !

“Le karting ne pourra jamais devenir une discipline très bon marché, mais nous devons faire ce qui est en notre pouvoir pour limiter les excès.” Les paroles, c’est bien, mais nous attendons des actions à ce niveau…

“Le karting de haut niveau reste encore trop centré sur l’Europe, il doit s’ouvrir à de nouveaux horizons. Grâce à Felipe Massa, le Championnat du Monde FIA Karting 2020 se déroulera au Brésil. L’Amérique possède de grandes potentialités sportives, c’est pourquoi nous commençons par aller au Brésil, mais l’Asie fait également partie de nos centres d’intérêt pour l’avenir.” Pour le Brésil, beaucoup ont des avis divergents: déplacement trop lointain ou bénéfique? Pour l’Asie, la CIK-FIA peut avoir intérêt à revenir à Suzuka ou Macao, car cette région a été investie par les challenges de marque, notamment par la IAME-X30.

“Pour ce qui est du kart électrique de compétition, la technologie actuel ne permet pas d’envisager à court ou moyen terme un kart de compétition électrique à la fois léger, performant et relativement abordable. Mais la FIA suit son évolution.” Le thermique a encore de belles années devant lui, tant mieux !

Ci-dessous, l’interview complet…

Quelle place occupe le Karting parmi toutes les disciplines de la FIA?
“C’est une place essentielle, car le karting est la base du Sport Automobile. Felipe Massa, le Président de la CIK-FIA, est dynamique et très investi, il peut compter sur une équipe compétente. Il est très écouté lors du Conseil Mondial du Sport Automobile.À la FIA, tout le monde est convaincu de l’importance du karting, aussi bien en tant que premier échelon de la carrière de nombreux Pilotes que comme discipline à part entière.

Quel bilan pouvez-faire de l’introduction d’un promoteur extérieur dans les compétitions FIA Karting depuis 2013?
La FIA a choisi depuis longtemps de se concentrer sur la gouvernance mondiale du Sport Automobile qui passe notamment par le cadre réglementaire. L’organisation d’épreuves sportives ne fait pas partie de ses missions. C’est pourquoi la FIA  fait appel à un Promoteur pour organiser tous ses Championnats. Cela lui permet d’investir davantage dans le sport lui-même et de consacrer les excédents de budget au développement de chaque discipline. Le karting n’est pas le dernier à en profiter. WSK Promotion a sensiblement fait progresser le niveau des organisations entre 2013 et 2017. RGMMC Group poursuit cette quête d’excellence tout en développant l’audience des Championnats FIA Karting dans les medias et sur les réseaux sociaux.

A ce propos, quel est votre regard sur le renforcement de la communication opéré durant les deux dernières années?
Assurer une communication moderne et efficace est une des priorités de la FIA. En étroite collaboration avec le Promoteur RGMMC, la FIA a considérablement fait évoluer la situation du karting. Le nombre de fans qui suivent les réseaux sociaux FIA Karting Championship se comptent maintenant par plusieurs dizaines de milliers à travers le monde. Sur Instagram nous sommes passés de 1500 à plus de 20.000 followers en quelques mois.
Nous avons également investi pour doper l’audience télévisuelle du karting. Nous produisons grâce à RGMMC Group des contenus que nous envoyons par satellite aux chaînes de télévision du monde entier. Lors du Championnat d’Europe FIA Karting de Kristianstad par exemple, nos efforts ont permis de toucher 195 pays à travers 62 chaînes.
Nous assurons désormais deux pleines journées de live streaming à chaque Compétition et nous avons un accord avec Motorsport.com qui génère un trafic important. Sur le terrain, la présence de plus de 8.000 spectateurs à Alahärmä lors du Kart Grand Prix de Finlande atteste d’une belle réussite. Nous avons vraiment effectué un grand pas en avant pour donner au karting la visibilité qu’il mérite.

Quels sont les axes envisagés par la FIA pour le développement futur du Karting?
Le karting international se porte bien, notamment depuis l’introduction en 2016 des catégories OK. Le coût de la Compétition est un domaine que nous surveillons de près. Le karting ne pourra jamais devenir une discipline très bon marché, mais nous devons faire ce qui est en notre pouvoir pour limiter les excès. Nous travaillons en collaboration avec les ASN pour que les Championnats nationaux reprennent de la vigueur.
Le karting de haut niveau reste encore trop centré sur l’Europe, il doit s’ouvrir à de nouveaux horizons. Grâce à Felipe Massa, le Championnat du Monde FIA Karting 2020 se déroulera au Brésil. L’Amérique possède de grandes potentialités sportives, c’est pourquoi nous commençons par aller au Brésil, mais l’Asie fait également partie de nos centres d’intérêt pour l’avenir. Le karting de haut niveau doit s’ouvrir à de nouveaux horizons.
Lors des Jeux Olympiques de la Jeunesse de 2018 à Buenos Aires, le kart électrique a permis de faire découvrir le sport automobile à un large public. Les Jeux Olympiques de la Jeunesse peuvent permettre  aux ASN de trouver de nouvelles opportunités auprès des Comités Olympiques nationaux.
Pour ce qui est du kart électrique de compétition, les équipes techniques de la FIA suivent l’évolution des produits. A ce jour la technologie ne permet pas d’envisager à court ou moyen terme un kart de compétition électrique à la fois léger, performant et relativement abordable.

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La WSK Champions Cup marque le début de la saison sportive internationale. Elle a lieu ces 22, 23 et 24 janvier. Les trois catégories OK, OK-Junior et 60 Mini sont au rendez-vous sur le circuit d’Adria. Les essais libres ont débuté ce jeudi et le live timing est actif, à découvrir à ces liens…

Live streaming (à partir de dimanche)

Live timing

Résultats au fil du meeting

Horaires

Engagés (vérifiés)… OK – OK Junior – 60 Mini

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Le Salon du Karting à Offenbach, c’est ce week-end des 25 et 26 janvier en Allemagne du côté de Francfort. Vous y retrouverez tout ce qui concerne le karting, avec huit halls d’exposition et des conférences sur plus de 10.000 m², ainsi qu’un circuit indoor. La compétition et le loisir y seront bien représentés, tout comme l’équipement, les accessoires, l’habillement, etc.

Il s’agira déjà de la 28e édition de ce salon de référence qui a été lancé en 1993. Offenbach am Main n’est qu’à 2h30 de la frontière française. N’hésitez pas à vous y rendre. L’exposition est ouverte samedi de 9h à 18h et dimanche de 9h à 17h.

Photo Tino Cacopardo (CT Photos.fr)

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L’équipe Birel ART peut se féliciter d’avoir engagé Riccardo Longhi, grand spécialiste du KZ2, au Championnat du Monde KZ 2019 à Lonato, puisque l’Italien a démontré qu’il avait toute sa place dans la catégorie reine au milieu des meilleurs mondiaux. Du coup, l’équipe milanaise va pouvoir digérer le départ en automobile de son Champion du Monde, le Néerlandais Marijn Kremers, puisqu’Alex Irlando poursuivra avec Birel ART.

Irlando (1) et Longhi (19) se sont battus aux avant-postes lors du dernier Championnat du Monde KZ

Avec le soutien de l’usine TM, le duo Irlando-Longhi va sans doute pouvoir jouer à nouveau les premiers rôles en KZ. Elle pourra également viser des bons résultats en KZ2 avec l’expérimenté Giuseppe Palomba, épaulé par le jeune et rapide Leonardo Marseglia et par le Néo-Zélandais Matthew Payne.

La volonté de briller en OK est également d’actualité, puisque Birel ART a réussi à faire venir deux pilotes vus aux avant-postes en 2019 avec leur KR-IAME. Il s’agit du Finlandais Nikolas Pirttilahti et du Belge Kobe Pauwels. Ce sera l’occasion pour Birel ART de démontrer que leur matériel est au niveau d’un des ensembles de référence actuellement.

On suivra avec attention les prestations du Britannique Clayton Ravenscroft, un des spécialistes du X30, mais aussi celle de l’Italien Matteo Massetani, du Thaïlandais Sutumno Tanapongpan et de la Néerlandaise Maya Weug. Cette dernière repart avec un Birel ART aux couleurs de la Richard Mille Young Talent Academy.

En OK-Junior, il sera intéressant de suivre le Polonais Tymoteusz Kucharczyk, un des excellents éléments du 60 Mini, passé chez les Juniors en milieu de saison 2019. Kucharczyk délaissera donc son Parolin pour un des châssis du groupe Birel ART, le RK, la marque chère à son compatriote Robert Kubica.

Dans le top-10 du dernier Championnat du Monde avec un Birel ART-TM, l’Italien Cristian Bertuca fera équipe avec le Polonais.

Photos Joël Gaboriaud

Kobe Pauwels, une excellente recrue pour Birel ART. Le Belge mène ici la finale de la manche du Championnat d’Europe OK au Mans

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Pour 2020, Sacha Maguet a été enrôlé par l’équipe PSL Karting, qui importe la marque Birel ART en Amérique du Nord. Rappelons que le Français a réalisé une superbe année 2019: vainqueur de l’Open Kart, de la NSK, vice-Champion de France, 2e de la Coupe de France et surtout de la Finale Internationale Rotax Junior en octobre dernier à Sarno, devant les yeux des responsables du très réputé team canadien.

Sacha Maguet

La Floride bénéficiant d’une météo clémente à cette période de l’année, la saison commence toujours très tôt outre-Atlantique et Sacha Maguet a participé coup sur coup à deux courses organisées dans deux séries d’envergure: la Winter Series (Skusa) en IAME-X30 Junior et la Florida Winter Tour (Rok USA) en Rok Junior.
Les 11 et 12 janvier, Sacha s’est mis en valeur en X30 Junior à Miami Homestead. Le samedi, il a terminé 3e aux chronos, 4e en préfinale, avant de vivre une finale plus difficile en 7e position. Le lendemain, Sacha Maguet (Birel ART) réalisait à nouveau le 3e chrono, avant de prendre le meilleur sur l’Italien Kimi Antonelli (KR) en préfinale pour le gain de la 2e place. Hélas, un accrochage le faisait chuter au départ de la finale. Relégué au-delà de la 15e place, il effectuait une superbe remontée en 4e position.

Comme la veille, Antonelli s’imposait dans une course où l’on notait la présence d’un membre de la famille Fittipaldi: Emmo.

A noter qu’Antonelli n’a pas fait le déplacement pour rien, puisqu’il a également remporté les deux courses de la catégorie KA100 Junior. Engagé en X30 Senior, Taylor Barnard n’a pu faire mieux que 18e et 10e les deux jours. Dans ce peloton, on retrouvait des noms célèbres comme Sebastian Montoya ou Rodrigo Piquet.

La semaine suivante, le format de course de la Rok Cup USA était différent lors de l’ouverture de la Florida Winter Tour, qui compte trois meetings. Après les chronos, trois manches, une préfinale et une finale étaient au programme. Sur le circuit Isle Casino à Pompano Beach, Sacha Maguet s’est montré très compétitif: 2e aux chronos, 3e, 3e puis 2e dans les manches, 2e au cumul et encore 2e en préfinale. Il pouvait regretter d’avoir dû se contenter de la 8e place.

La victoire dans cette catégorie Junior Rok s’est revenue à l’Américain Connor Zilish (Tony Kart), coaché par Davide Fore. Zilisch a fait coup double en gagnant la classe 100cc. A noter que Fore était engagé comme pilote en Rok Shifter. Auteur du 3e chrono, le multiple Champion du Monde italien a manqué une manche et a dû cravacher pour revenir de la 9e place à la 3e place au volant de son Intrepid. La victoire est revenue à AJ Myers (Magik Kart) devant Austin Garrison (TB Kart).

12e, Rubens Barrichello étrennait son châssis Birel ART / Charles Leclerc, tout comme son fils Eduardo, 8e de la finale, trois places devant Sebastian Montoya (Tony Kart).

Rendez-vous en février pour la suite des aventures de Sacha Maguet.

Photos PSL Karting

Barrichello, père et fils, au sein du team PSL Karting qui représente Birel ART et Charles Leclerc outre-Atlantique

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Le 16 décembre dernier, la Commission Internationale de Karting de la FIA a mis à jour sa liste de circuits qui bénéficient d’une homologation pour organiser un Championnat, une Coupe ou un Trophée FIA Karting. Il s’agit de Aunay les Bois-Essay (1215 m), Varennes sur Allier (1500 m), Angerville (1198 m), Le Mans (1384 m), Salbris (1477 m), Ostricourt (1450 m) et, plus surprenant, Paul Ricard-Le Castellet (964).

Salbris, où sera organisée l’Open Kart le 23 février prochain, est l’un des circuits français homologués CIK-FIA

Il ne reste d’ailleurs plus que 4 circuits dans le monde de moins de 1000 mètres: Sugo-Sendai (984 m) au Japon, Singapour Arena (le plus petit avec ses 760 m) et Singapour-FF1. Long de 960 m, ce dernier a la particularité d’être le seul des circuits à être homologué dans les deux sens !

L’Italie possède le nombre le plus élevé avec ses 11 pistes CIK ! Au total, ils sont 53, sachant que certains complexes ont homologué plusieurs tracés sur le même site. 37 se trouvent en Europe.

Découvrez la liste complète à ce lien…

Photo Joël Gaboriaud

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